L'adoration du ciel
L’adoration est un projet d’installation et de performance. Il se base sur le quatrième texte de l’apocalypse, l’adoration du ciel.
Il est composé d’un ensemble de mobilier d’église (chaises, trônes, hôtel), d’une série d’illustrations A3 encadrées. Le texte original de l’adoration du ciel en grec ancien recouvre les différentes parties de l’installation. Dans ce récit, les être humains prônent et honorent une présence supérieure abstraite qui crée, dirige et domine le monde depuis son trône.
Omniprésent dans la fiction et la pop-culture, le thème de l’apocalypse est si séduisant car il revêt un aspect prophétique : les catastrophes naturelles, les guerres et les désastres nucléaires sont tant de moments historiques dans lesquels l’humain a déjà puisé un imaginaire apocalyptique.
Dans cette installation, il s’agit de réaffirmer l’importance du rite dans un monde séculaire où la pensée religieuse n’est plus matrice de fonctionnement des institutions et du progrès. Pourtant, les enjeux climatiques contemporains nous rappellent l’idée de l’effondrement soudain d’un monde construit par des institutions héritières de la pensée religieuse. L’espoir ne repose alors plus sur le rationnel mais bien sur le transcendant, l’inexplicable et le sacré, ce qui émane d’une puissance extérieure.
Il est composé d’un ensemble de mobilier d’église (chaises, trônes, hôtel), d’une série d’illustrations A3 encadrées. Le texte original de l’adoration du ciel en grec ancien recouvre les différentes parties de l’installation. Dans ce récit, les être humains prônent et honorent une présence supérieure abstraite qui crée, dirige et domine le monde depuis son trône.
Omniprésent dans la fiction et la pop-culture, le thème de l’apocalypse est si séduisant car il revêt un aspect prophétique : les catastrophes naturelles, les guerres et les désastres nucléaires sont tant de moments historiques dans lesquels l’humain a déjà puisé un imaginaire apocalyptique.
Dans cette installation, il s’agit de réaffirmer l’importance du rite dans un monde séculaire où la pensée religieuse n’est plus matrice de fonctionnement des institutions et du progrès. Pourtant, les enjeux climatiques contemporains nous rappellent l’idée de l’effondrement soudain d’un monde construit par des institutions héritières de la pensée religieuse. L’espoir ne repose alors plus sur le rationnel mais bien sur le transcendant, l’inexplicable et le sacré, ce qui émane d’une puissance extérieure.
