SINAPSI
La prima esposizione virtuale di Helene Foata intitolata “Sinapsi”, ci chiede di “sintonizzarci” sulle frequenze algoritmiche che sottendono la realtà, che essa appartenga al regno animale, vegetale o umano. Partendo dai suoi studi sulla anatomia e la fisiologia umana l’artista si è accorta che sotto l’immagine più piccola visibile al microscopio c’è un reticolo immateriale di figure geometriche che si ripetono e si evolvono all’infinito in maniera simile ma non uguale. Questo “tessuto” di immagini è composto da frattali. In natura tutto si autosomiglia, neuroni e alveoli polmonari, rami e radici di un albero parlano il linguaggio frattale costituito da algoritmi matematici. Questo regno sotterraneo è sempre stato teorizzato, analizzato e utilizzato da fisici, microbiologi, medici e scienziati. L’immagine frattale spazia dal quantico al cosmico dai fotoni ai neurotrasmettitori, tutta fisiologia è rappresentabile in una dimensione matematica. Helene Foata ha provato a catturare la dimensione estetica e simbolica di questo linguaggio e rendere visibile l’anatomia dell’invisibile. Fissando in una immagine il flusso continuo di informazioni e di energia che fluisce nel cervello umano in stato di sonno e veglia, il frattale esprime meglio di ogni altro mezzo il potenziale “vibrazionale” degli stati di coscienza. Ciò’ rende visivamente evocativi alcuni degli ormoni fondamentali che ci governano, la neurofisiologia umana, la fisica quantistica. Le immagini fluttuano nello spazio come una emanazione di potenza che dal nucleo si riverbera in forme speculari. L’opera frattale si cala nel vortice di conoscibilità di sistemi complessi senza disperdersi in un astrattismo ludico né intimistico. Essa rimane una emanazione che non circoscrive contorni, una immagine né astratta né figurativa. Fisici, scienziati e informatici sono affascinati dalle immagini frattali perché descrivono la parte misteriosa e nascosta della Natura alla quale la nostra visione antropocentrica fatica ad adeguarsi. Se fossimo capaci di rimettere al centro della nostra evoluzione i quanti, la scintilla di energia generata dai neuroni, l’espansione energetica del Cosmo, avremmo una remota possibilità di riconciliarci con ciò che ci circonda e ci nutre.
Valeria Vaccari
Ottobre 2022
Traduction en français
Première exposition virtuelle d’ Hélène Foata intitulée Sinapsi
Elle nous invite à nous synchroniser sur les fréquences algorithmiques qui sous-tendent la réalité .
Partant de ses études sur l’anatomie et la physiologie humaine, l’ Artiste s’est aperçue qu'au delà de l’image visible au microscope, il existe une grille de figures géométriques qui se répètent et se génèrent à l’infini de manière semblable mais non similaire .Ce tissus d’image se compose de fractales.Dans la nature tout se ressemble, neurones et alvéoles pulmonaires, branches et racines et parlent en langage fractal constitué d’algorithmes mathématiques.L’image fractale s’étend du quantique au cosmique, des photons aux neurotransmetteurs, toute la physiologie est représentable en dimension mathématique.
Hélène Foata capte la dimension esthétique et symbolique de ce langage et rend visible l’anatomie de l’invisible.
En fixant une seule fractale du flux continu d’informations et d’ énergies qui fluctuent dans le cerveau humain en état d’éveil ou de sommeil. Une fractale exprime mieux que tout autre moyen connu le potentiel vibratoire qui décrit les état de conscience . Ce qui rend encore plus évocateur le rôle de certaines hormones fondamentale qui nous gouvernent.
Ses images fluctuent dans l’espace comme une émanation de puissance qui du noyau se démultiplient.Son oeuvre fractale se place dans un vortex de connaissances de systèmes complexes sans toutefois se perdre dans un art abstrait amusant ou trop intime, et stabilise une émanation qui n’établit pas de limites, une image ni abstraite ni figurative .
Les scientifiques apprécieront les fractales car elles décrivent la part mystérieuse et cachée de la nature, à laquelle notre vision anthropocentrique peine à s’ adapter . Si nous sommes capables de replacer au centre de notre évolution le quanta, la scintille d’energie générée par les neurones, l’extension énergétique du cosmos, nous avons une possibilité de nous réconcilier avec ce qui nous entoure et nous nourrit.
Valeria Vaccari
Valeria Vaccari
Ottobre 2022
Traduction en français
Première exposition virtuelle d’ Hélène Foata intitulée Sinapsi
Elle nous invite à nous synchroniser sur les fréquences algorithmiques qui sous-tendent la réalité .
Partant de ses études sur l’anatomie et la physiologie humaine, l’ Artiste s’est aperçue qu'au delà de l’image visible au microscope, il existe une grille de figures géométriques qui se répètent et se génèrent à l’infini de manière semblable mais non similaire .Ce tissus d’image se compose de fractales.Dans la nature tout se ressemble, neurones et alvéoles pulmonaires, branches et racines et parlent en langage fractal constitué d’algorithmes mathématiques.L’image fractale s’étend du quantique au cosmique, des photons aux neurotransmetteurs, toute la physiologie est représentable en dimension mathématique.
Hélène Foata capte la dimension esthétique et symbolique de ce langage et rend visible l’anatomie de l’invisible.
En fixant une seule fractale du flux continu d’informations et d’ énergies qui fluctuent dans le cerveau humain en état d’éveil ou de sommeil. Une fractale exprime mieux que tout autre moyen connu le potentiel vibratoire qui décrit les état de conscience . Ce qui rend encore plus évocateur le rôle de certaines hormones fondamentale qui nous gouvernent.
Ses images fluctuent dans l’espace comme une émanation de puissance qui du noyau se démultiplient.Son oeuvre fractale se place dans un vortex de connaissances de systèmes complexes sans toutefois se perdre dans un art abstrait amusant ou trop intime, et stabilise une émanation qui n’établit pas de limites, une image ni abstraite ni figurative .
Les scientifiques apprécieront les fractales car elles décrivent la part mystérieuse et cachée de la nature, à laquelle notre vision anthropocentrique peine à s’ adapter . Si nous sommes capables de replacer au centre de notre évolution le quanta, la scintille d’energie générée par les neurones, l’extension énergétique du cosmos, nous avons une possibilité de nous réconcilier avec ce qui nous entoure et nous nourrit.
Valeria Vaccari
